10ème du dernier Vendée Globe bouclé en 82 jours, Maxime Sorel sera l’un des skippers au départ du tour du monde à la voile et en solitaire le 10 novembre prochain. Soutenu par Helly Hansen, le marin de 38 ans fera partie des favoris.
En mai 2023, Maxime Sorel atteignait le sommet de l’Everest. 18 mois après cet exploit, le marin/alpiniste s’apprête à prendre le départ du 10ème Vendée Globe, l’Everest des mers. Et le skipper du IMOCA V and B – Monbana – Mayenne n’a pas mis longtemps à retrouver le pied marin. Il était en effet déjà sur mer quelques jours après être rentré de son ascension himalayenne. À quelques jours du grand départ aux Sables d’Olonne, Maxime Sorel s’apprête donc à affronter les éléments, sur mer cette fois. Et là aussi, il pourra compter sur le soutien de son partenaire Helly Hansen, qui est à ses côtés depuis plusieurs années.
« Helly Hansen m’accompagne depuis 2018, donc c’est un partenariat qui dure et sur lequel je peux compter » expliquait Maxime Sorel dans un épisode du podcast de We Rock Sport que nous lui avions consacré peu après son ascension de la plus haute montagne du monde. « En montagne comme en mer, on est confronté à des situations extrêmes et les équipements que me fournit Helly Hansen sont parfaitement adaptés à ces conditions difficiles. D’ailleurs, dans les mers du Sud j’avais pas mal de vêtements de ski. J’ai notamment beaucoup utilisé la sous-couche Lifa Merino, aussi bien à la mer qu’en montagne tout comme la veste Odin 9 Worlds 2.0 qui est devenue un élément essentiel de ma garde-robe au cours des dernières semaines passées en montagne. »
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Cette fois, le marin affrontera autant des températures basses proches de zéro que des conditions très chaudes où le thermomètre pourra grimper jusqu’à 40°C. « Sur le bateau, il faut pouvoir s’adapter à ces différences de températures et avant tout de rester au sec. Je peux compter sur Helly Hansen pour me fournir les meilleurs produits pour ça » ajoute le skipper qui compte plus que tout performer sur ce Vendée Globe 2024 – 2025 d’autant que ses trois partenaires majeurs V and B, Monbana et le département de la Mayenne ont décidé de mettre fin à leur partenariat à l’issue de la course.
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« Je suis un sportif engagé et passionné et j’aime les défis plus que tout. Cette décision n’entache aucunement ma volonté forte de rendre une belle copie sportive sur ce tour du monde. Comme à mon habitude, je me transpose déjà dans le temps avec confiance tant j’ai l’impression que j’ai toujours beaucoup à donner que cela soit en mer, à terre et entrepreneurialement parlant » assure le skipper Cancalais qui souhaite désormais consacrer ses aventures sportives au service de la santé et prouver lors d’une nouvelle campagne internationale en IMOCA qui le mènera jusqu’au Vendée Globe 2028, que rien n’est impossible.
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« Le Vendée Globe est un véritable défi. Mentalement et physiquement, c’est épuisant. Chaque jour, vous avez un problème et vous devez le résoudre le plus rapidement possible pour que les suivants restent gérables et que vous ne vous sentiez pas dépassé. Vous êtes seul face aux éléments. Et vous savez bien que l’océan est le plus fort. Cependant, aussi difficile que cela puisse être, en faire partie est une grande source de satisfaction pour moi. Cela fait quatre ans que je me prépare pour ce moment. C’est comme nos Jeux olympiques » conclue le skipper français.
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