Malou Peterson : « Le ski est un art à bien des égards »

Dans son dernier film « The Joy of Skiing », la skieuse suédoise Malou Peterson nous emmène sur les plus belles pentes sauvages de Suède, du Canada et du Groenland. La rideuse Smartwool nous explique le processus de création de ce film et l’utilité de partir bien équiper dans de telles expéditions.

Quelle était l’idée principale lorsque tu as décidé de faire ce film ?

Je voulais capturer les différents aspects du ski que j’aime… Rien de compliqué, l’objectif était surtout de montrer la joie que m’apporte le ski. J’aime rider dans la poudreuse avec des amis, mais j’aime aussi explorer de nouveaux endroits et de nouvelles cultures. Parfois, même si le spot n’est pas parfait, c’est le voyage qu’il faut retenir. Je voulais aussi partager dans le film l’amour que j’ai pour mon home spot dans le nord de la Suède. C’est là où j’ai grandi.

Et pourquoi ce choix du Canada et du Groenland ?

J’ai passé les six derniers hivers au Canada, la neige et les spots y sont vraiment particuliers. C’est là que je suis tombée amoureuse du ski freeride, donc c’était une évidence de l’inclure dans le reportage. Le Groenland a été un voyage de rêve pour moi. La première fois que je l’ai vu, c’était depuis la fenêtre d’un avion qui m’emmenait de la Suède au Canada. C’est tellement isolé, des montagnes massives et seulement quelques personnes qui y vivent. Je devais y aller.

On peut imaginer que tourner au Groenland n’a pas été facile ?

La logistique du tournage au Groenland a été effectivement un vrai défi. Trois de nos vols ont été retardés de plusieurs jours et nous avons été bloqués dans des villes sans matériel. Notre nourriture et nos affaires de camping n’étaient pas dans l’avion ! Ça a posé pas mal de problèmes… Mais il n’y a pas d’aventure sans problèmes, et finalement le trip s’est avéré beaucoup plus intéressant avec tout ce qui s’est passé.

Quelle a été la partie la plus difficile du tournage ?

Le plus dur était d’avoir en même temps une bonne lumière, une bonne neige, une sécurité optimale et mon envie de skier au plus haut. On s’engageait quotidiennement dans de longues journées de ski de randonnée en montagne. Pendant ces sorties, le corps est mis à rude épreuve. Mais quand tout s’aligne… C’est la chose la plus magique qui soit !

Pourquoi as-tu choisi d’ajouter une touche artistique à ton film avec l’artiste Jonas Draws ?

J’aime l’art, et je pense que le ski est un art à bien des égards… Et j’aime l’art de Jonas qui me rappelle comment je souhaite mener ma vie. Le ski, le surf, le camping, être entourée d’amis dans la nature… Tout cela m’inspire.

Comment les produits Smartwool t’ont-ils aidé dans ces expéditions ?

Il faisait froid sur tous les spots où l’on a tourné, surtout au Groenland et en Suède où il peut y avoir beaucoup de vent avec un froid glacial. Avoir une couche de base chaude et des chaussettes en laine mérinos est très important. Nous avons passé beaucoup de temps à filmer sur des voiliers et dans des petits refuges de montagne. Le fait que les couches de base ne rejettent pas d’odeur était aussi un plus pour ce genre d’aventure. La laine mérinos est vraiment un matériau magique.

Quel est ton équipement Smartwool préféré ?

Cet hiver, j’ai adoré l’ensemble de couches de base Intraknit, c’est tellement confortable, je ne peux que les recommander.

À propos de Smartwool

Dès sa création en 1994, Smartwool s’adresse aux amoureux de la vie en plein et air et produit des chaussettes pour pouvoir skier plus longtemps. Un crédo que la marque américaine a conservé jusqu’à maintenant, en s’appuyant principalement sur les propriétés exceptionnelles de la laine mérinos. Douce, sans odeur, évacuant l’humidité et régulant parfaitement la température corporelle, ce matériau renouvelable trouve toute sa place dans les chaussettes de ski performantes que Smartwool a été la première à commercialiser sur le marché. Désormais, les chaussettes et vêtements de la marque sont conçus avec une partie de laine recyclée.

« Nous rassemblons les fibres de laine récupérées et les rebuts de haute qualité de laine Merino 250, les traitons et en faisons de nouvelles matières recyclées que nous utilisons dans notre molleton et notre isolant » détaille Smartwool. Cette laine recyclée permet de diminuer les émissions de carbone liées au méthane produit par le mouton. Plus globalement, Smartwool travaille sur la régénérescence de la laine et s’investit dans le programme ZQRX développé par la New Zealand Merino Company. La laine certifiée ZQ s’appuie sur cinq piliers : Le bien-être animal, la durabilité du produit, la qualité de la fibre, la traçabilité à la source et la responsabilité sociale.

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