Considéré comme l’un des meilleurs photographes de sports outdoor au monde, Chris Burkard s’est fait une spécialité de shooter du surf. Voici ses plus beaux clichés.
Avec 3,7 millions de followers sur Instagram, Chris Burkard est un phénomène dans l’univers de la photographie. Cet Américain de 35 ans né en Californie s’est rapidement fait un nom dans le monde des sports outdoor. Ses clichés ont fait la une des plus grands magazines à l’image du National Geographic ou de Surfer Magazine. C’est d’ailleurs dans le surf que Chris Burkard est reconnu comme le plus talentueux des photographes. Voici ci-dessous certains de ses clichés les plus somptueux.
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« Souvent, je me retrouve dans des situations où je suis absolument seul au milieu des éléments ou sur la route… » explique Chris. « J’essaye de faire en sorte de retranscrire ce que je vois, tel quel, et l’expérience que j’en fais. Alors j’essaye de ne pas passer trop de temps à mitrailler et faire plein de photos, et de me focaliser davantage sur l’expérience en elle-même. »
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« Quand je fais des photos commerciales, je shoote ce qu’il faut shooter et j’obtiens ce que j’ai à obtenir, mais quand je suis sur des projets persos, un peu ce que vous voyez sur mes réseaux sociaux, là je passe beaucoup plus de temps au coeur des éléments, à m’en imprégner vraiment. »
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« Au début de ma carrière, j’étais à la recherche de beaucoup d’inspiration et je regardais le travail de plein de photographes. Henri Cartier-Bresson m’a notamment beaucoup inspiré. Son travail était un travail de l’instant, de l’instinctif. Il s’immergeait totalement dans l’instant et il vivait vraiment « l’instant ». »
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« Je suis attiré par les endroits perdus comme les Féroé, simplement parce que peu de gens se déplacent jusque là-bas. Les accès difficiles et la météo incertaine sont les principales raisons qui font de ces îles une destination compliquée pour beaucoup mais idéale pour moi. »
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« Passer autant de temps dans les zones arctiques au cours des sept dernières années m’a fait réaliser leur beauté fragile. Le côté imprévisible du ciel, des conditions de surf, les routes tortueuses sont des données pas évidentes à gérer mais c’est ce qui fait que l’expérience du voyage reste spontanée. »